A proximité immédiate du bourg de Nuzéjouls est installée depuis fort longtemps une magnifique fontaine.
Son eau abondante alimente une fontaine à boire, un abreuvoir et un lavoir par un ingénieux système de trop-pleins.
A proximité immédiate du bourg de Nuzéjouls est installée depuis fort longtemps une magnifique fontaine.
Son eau abondante alimente une fontaine à boire, un abreuvoir et un lavoir par un ingénieux système de trop-pleins.
Bien accroché sur son éperon rocheux, le village de Capdenac-le-Haut a su garder toute son authenticité. Les ruelles parfois étroites, les anciennes portes, le donjon et les vieilles maisons médiévales nous propulsent dans un autre temps.
Pour apprécier ce beau village, j’ai conçu 2 vidéos d’une vingtaine de minutes chacune permettant de traverser le village en entrant par l’entrée Nord ou par l’entrée Sud.
Protégée par des hauts murs, la Fontaine Romaine troglodytique est invisible depuis la vallée du Lot. Pourtant sa fortification a permis au villageois de Capdenac-le-Haut de tenir de longs sièges en disposant d’une eau abondante au sein même de la citadelle.
Il fallait toutefois descendre les 120 marches de l’escalier à flanc de falaise. Un temps oubliée, la fontaine a été redécouverte et rouverte au public après de longues heures de débroussaillage et de maçonnerie en 1981.
Plantée au beau milieu du village, la fontaine pétrifiée du Griffoul est une réelle curiosité.
Son imposant bloc de calcaire d’une hauteur de 3 mètres, semble flotter au-dessus du bassin. Une eau discrète s’écoule tout doucement de son sommet.
Pour illustrer cet article, une courte vidéo vous permet d’en faire le tour.
L’oppidum de Capdenac-le-Haut a été maintes fois assiégé.
Le siège le plus anciennement connu remonterait à l’an 51 avant notre ère, quand César et 30.000 soldats auraient réussi à prendre la forteresse occupée par 2.000 gaulois.
Mais c’est par la ruse que César serait arrivé à une capitulation des résistants en asséchant le seul point d’eau de la cité. Parmi les vestiges de ce siège ; la fontaine gauloise et la fontaine de César nous sont parvenues.
En quittant le boug de Saint-Jean-Lespinasse en direction d’Autoire, un vieux lavoir récemment restauré a suscité mon intérêt.
Pensant saisir un nouveau lavoir, j’ai pris des clichés et une vidéo du lieu.
C’est en archivant les photos que je me suis rendu compte que j’avais déjà immortalisé ce lavoir quatorze ans plus tôt.